Comme beaucoup de passionnés de la truite, j’aime réussir mon ouverture, quels que soient les paramètres météorologiques et hydrologiques. Cette réussite, qui, je l’avoue avec fierté, ne m’a jamais échappé ces dernières années, passe évidemment par une excellente connaissance des coins de pêche de mon département, mais aussi par une alternance subtile de mes deux techniques favorites : le leurre et le vairon manié. Quels sont les atouts et les faiblesses de chacune d’entre elles ?
La préparation
Concernant l’avant pêche, le duel semble clairement à l’avantage du leurre! Aucun leurre ne s’étant jamais échappé tout seul d’une boîte, il suffit de bien la remplir, de la mettre dans son chest pack et d’attendre tranquillement le samedi matin. Le vairon demande, au contraire, de se procurer (ou d’acheter) les petits cyprinidés, de les conserver jusqu’à la date fatidique, de les acheminer au bord de la rivière, puis de les transporter dans une bouteille d’eau ou un vivier. Soit pas mal de contraintes. À y regarder de plus près, le match n’est toutefois pas si déséquilibré. Le choix des leurres à embarquer est en effet loin d’être une simple affaire et peut même virer au casse-tête avec l’imm
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